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Présentation

  • : Julien Baret de la Roussonnière
  • : itinéraire géographique, historique et humain de l'honnorable Julien Baret de la Roussonnière, le premier Baret de la Réunion.
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  • G 72
  • Tout simplement un agenda perpétuel, autour  de Zamet Baret, vers 1500 à un descendant, Alcide Baret, directeur d'école, et poète.
  • Tout simplement un agenda perpétuel, autour de Zamet Baret, vers 1500 à un descendant, Alcide Baret, directeur d'école, et poète.

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 04:19

 

Je m'appelle BARET

 

Epelez s'il vous plait !

 

B A : BA

 

Retiens bien petite fille le début de ton savoir lire

 

et de tant de mots à venir !

 

R

 

Air venu du fond des siècles

 

Erre sur les landes de la mèmoire

 

E T : ET

 

Et l'histoire continue

 

Et le joli mot que voilà :

 

BARET

 

Nom propre

 

Nom de famille

 

Pendant 23 ans je t'ai porté sans y penser.

Puis je t'ai rangé au profit de mon nom de mariée

 

Au nom de la loi

 

Au nom de l'amour

 

Nom d'épouse : ?

 

Nom de jeune fille : BARET

 

...

 

Nicole Baret, descendante de Barbe Payet et de Julien Baret de la Roussonnière.

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4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 04:16

La généalogie de la branche Baret de la Rivière Saint-Louis, constituée grâce à la collaboration des bénévoles de GénéaNet

La généalogie des Baret  La généalogie des Baret

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 14:25

Joseph Leonard Baret

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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 18:52

 

          

La lignée ascendante crèole

Lignee-ascendante-creole 

  

 

 

Les Payet et les Hoarau

 

 

 

Les-Payet-et-les-Hoarau-copie-1 

 

 

 

La descendance de Julien Baret et Barbe Payet

 

 

 

Descendance-de-Julien-Baret-et-Barbe-Payet

 

 

 

Descendance de Michel Antoine Agricole Baret

 

  Descendance-de-Michel-Antoine-Agricole-Baret-copie-1

- - - - - - - - -  

 

 

 

 Les Baret et les Fontaine,

 

                                                                               du côté paternel

 

 

Baret-Fontaine

 

  

 

 

 

 

 

Les Baret et les Fontaine,

                                             

                                               du côté maternel

 

 

Les-Baret-et-les-Fontaine-2

 

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13 décembre 2011 2 13 /12 /décembre /2011 05:34

 

Jean Gabriel Julien Baret,

 

 Le deuxième enfant de Julien et Barbe est né à Saint-Louis le 5 mars 1737, le nom de Baret va se perpétuer à Bourbon. Il reçoit les prénoms de Jean, en mémoire de son grand-père, qui est décédé en France le jeudi 4 avril de cette année, puis Julien comme son père. Son oncle Antoine Payet, le mari de Sabine Lautret est le parrain. Marianne Payet, l'épouse de Joseph Desgranges, enceinte de sept mois, est choisie comme marraine.

 

Le 20 juillet 1761, âgé de 24 ans, il va épouser à Saint-Pierre, Marie, 19 ans, la fille de Jacques Fontaine et Marie Anne Folio.

Ils auront trois garçons :

 

                                        - Placide

                                        - Paul Marie

                                        - Louis Gédéon

 

Louis Gédéon décédera dans sa première année, et Placide à l'âge de 17 ans. Perpétuer le nom de Baret appartiendra donc à Paul Marie.

 

Marie va décéder à l'âge de 26ans, le 6 août 1768. Jean Gabriel Julien assumera son veuvage pendant 14 ans et s'occupera seul de ses 2 enfants.

 

Le 27 novembre 1782, il se remariera à Saint-Louis avec Marie Geneviève Mollet, native de Saint-Benoit. Elle est la fille de François Mollet et de Geneviève Guichard, et seulement 2 ans de plus que son fils Paul Marie. 

 

 Jean Gabriel Julien Baret décède en 1794. 

 

Marie Geneviève Mollet, fera un second mariage le 5 novembre1794, avec Monestier Pierre, originaire du Lot.

Elle a 28 ans, il en a 19 .

 

Puis un troisième mariage, le 16 octobre 1806 à Saint-Louis, avec Dijoux Henry Eleuthère (1770-1826).

 

De ses trois maris, elle n'aura pas d'enfants.

 

  Branche Jean Gabriel Julien Baret

 

 les épouses Mollet

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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 17:02

 

 

De 1500 à 1627

 

De 1500 à 1627

 

 

De 1570 à 1686

 

De-1570-a-1665-.jpg

 

 

Descendance Baret, Renard, Chaillou.

 

  descendance-Baret-Renard-Chaillou-

    

  

 

 

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11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 13:32

 

 

 

 

De Julien Baret  à  Baret de la Roussonnière

 

 

Julien Baret, dit Baret, âgé de 28 ans, s'engage en qualité de soldat, à Lorient le mardi 30 novembre 1723, (voir bulletin Cercle Généalogique de Bourbon n° 104 de juin 2009, page 4115). Natif de Précigné, dans l'ancienne province d'Anjou, devenu le 4 mars 1790 le département de la Sarthe. Embarqué le 24 février sur la frégate la Vierge de Grâce, il arrive à l'île Bourbon au mois de décembre

 

    L'an de grâce mil sept cent vingt six, le dixième jour du mois de septembre, à Saint-Paul,

Monsieur Baret de la Roussonnière épouse Damoiselle Payet Barbe. (acte de mariage)

 

C'est la fille de Laurent Payet et de Marie Hoarau. Pour faire bonne mesure, Julien Baret, accolera désormais à son patronyme "de la Roussonnière". Ce n'est pas du tout un titre de noblesse, mais le nom d'une "closerie", c'est-à-dire une petite propriété rurale close, située en pays de Loire, à Précigné, à vingt kilomètres de la Flèche, à quarante kilomètres d'Angers et à une bonne cinquantaine de kilomètres du Mans, chef lieu du département, la Sarthe.

 

Fait rare pour l'époque, il est rédigé un contrat de mariage par devant Jean Saint Lambert de Labergry, greffier et secrétaire du Conseil Supérieur des îles faisant fonction de notaire. Contrat qui sera finalisé le mardi quatorze septembre 1724, soit quatre jours après le mariage.

 

Par ce contrat les époux se font selon conditions, une donation mutuelle et réciproque de tous leurs biens propres, acquêts et conquêts au conjoint survivant

 

Les parents de Barbe s'engagent à fournir une maison en bois équarry de vingt cinq pieds de long, (soit entre 7,5 et 8 mètres) à l'endroit qui luy est le plus convenable sur un terrain sis soit à Saint-Paul soit à celuy de Saint-Etienne (Saint-Louis), deux vaches et quatre brebis. Ainsi que, comme c'est devenu la coutume depuis une dizaine d'années d'un jeune esclave ou d'une servante. Il s'agit de Tanane, un malgache de huit à onze ans, apte à travailler.

 

Sieur Julien Baret apporte la Metterie de la Roussonnière (dans le texte, il faut lire métairie avec partage par moitié des charges et produits), qui lui appartient en propre par la donation que luy a faite le sieur Jullien Thieslin de Bonnes Eaux, son parrain par acte passé par devant le sieur Louis Launay, notaire à Sablé sur Sarthe. C'est une grosse menterie, le bien appartient à son père. Le riche Julien Thieslin n'a jamais été propriétaire de la Roussonnière, pas plus que son épouse Gabrielle Sigoigne. De même l'acte cité ne figure nullement dans le minutier de l'étude. Peut-être, comme de nombreux textes a-t-il été égaré au cours des siècles.

 

La Roussonnière était dans la famille Chaillou (ou Chailleux selon les textes) depuis plusieurs générations. Elle est entrée dans la famille Baret, par suite de l'union de Renée Chaillou avec René Baret (tous deux 1629-1684). Elle sera transmise par héritage à leur fils Jean Baret, notaire royal (1665-1737), puis à Jean Baret, greffier (1694-1777), le frère ainé de Julien Baret.

 

Le nom de Baret de la Roussonnière a été transmis à ses premiers enfants, puis abandonné.

 

Article extrait de l'ouvrage ci-dessous 

 mon Juju                                                                                                              

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9 décembre 2011 5 09 /12 /décembre /2011 18:03

    

BARET, est d’origine germanique, issu du mot Baro,avec comme racine le mot Ber signifiant ours. En Italie et en Corse cela donne Baretti et Baretto. 

 

BARRET, est un vieil toponyme de l’ancien français "Barre", qui désigne tout simplement une perche, ou une barrière de protection, clôturant un champ ou une maison.
    En patois angevin, fermer la porte à clef se dit barrer, et son contraire débarrer.
    En Provence, et plus particulièrement pour Lou félibre Frédéric Mistral c’est le bonnet d’un enfant, une barrette.

 

Du point de vue zoologique, on écrivait indistinctement autrefois baret, barret ou barri pour désigner l'onomatopée du cri de l'éléphant ou du rhinocéros.

De nos jours on parle plutôt du barrissement, sans oublier l'action, et le moment : lorsqu'il est contrarié, l'éléphant barrette.

 

Symboles-Baret 

Pour la lignée des Baret, rencontrée en Anjou, il est bien évident que l'origine germanique conviendrait mieux que le baret d'un énorme éléphant ou d'un rhinocéros, venus d'Afrique.

 Il faut toutefois se montrer prudent sur la fiabilité des actes paroissiaux, car on peut trouver dans un même acte afin de désigner la même personne les deux orthographes.

Ainsi, à la Réunion on rencontre le patronyme Baret écrit avec un R ou deux R, pourtant, il est certain que le seul Baret ayant immigré à Bourbon, soit uniquement Julien Baret de la Roussonnière.
Pour en avoir la certitude, il suffirait de vérifier les premiers actes d'état civil, afin de voir à partir de quel moment s'est créée une nouvelle lignée de Barret orthographiée avec deux R.

Lors d'un recensement en 1742, notre Julien Baret est même désigné sous le nom de Barré.

 Il est tout à fait certain, tant à Précigné, que lors de l'incorporation, de l'embarquement sur le bateau, qu'à l'arrivée sur l'île Bourbon, Julien s'appelle Baret, "dit Baret".

Pour faire bien, lors de la rédaction du contrat de mariage, il ajoute à son patronyme, de la Roussonnière.

 

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 03:12

Chronique de l'état civil de Saint-Paul (imaginaire bien entendu)

 

 

L'an de grâce 1713, le dix neuvième de janvier, le Frère Nicolas Laurens Duval, religieux augustin, curé de Saint-Paul en l'île Bourbon a baptisé le troisième enfant né du légitime mariage de Laurent Payet et de Marie Hoarau.

 

Laurent Payet né le 16/07/1685, est le fils de Antoine Payet, dit la Roche, et de Louise Siaranne.

Marie Hoarau, née le 23/06/1694, est la fille de Etienne Hoarau pére, et de Geneviève Dennemont.

Tous deux se sont mariés à Saint-Pierre, le 21/09/1706.

 

L'enfant est une fille, venue au monde à Sain-Paul, le quinzième dudit mois et a été nommée,Barbe.

 

La mère et l'enfant se portent bien (mais l'expression n'est pas d'époque).

 

Le Parrain est  l'honorable homme Germain Payet, né le 16/04/1678, frère ainé de Laurent. Il a pour épouse Louise Robert, dont la vertu est sans tâches. Elle est née la même année que son beau-frère. Tous deux se sont mariés à Saint-Pierre, le 12/08/1699. On dit de lui qu'il est un bonhomme bien obeissant et fort paisible, mais ivrogne, joueur et paresseux au possible. Il ne manque point d'esprit, mais le met mal en pratique. 

 

La marraine est dame  Barbe Payet, née comme la mère de l'enfant en 1694, l'épouse de Etienne Hoarau, père, né le 21/09/1670.

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 07:26

Dés son débarquement à Bourbon en décembre 1724, Julien Baret résidait à Saint-Paul. A son mariage en septembre 1726 avec Barbe Payet, son beau père prenait l'engagement de faire construire pour les jeunes époux une case en bois équarri. Obtenant par la suite une concession agricole à la Ligne des Bambous, c'est donc là que s'est faite la construction.

 
Saint-Louis est le berceau des Baret de la Réunion comme le dévoile toutes les études généalogiques. A partir de 1800 des lignées de Baret se révélent à Saint-Joseph, avec en tête de file Joseph Léonard, un fils de René Vincent et Louise Magdeleine Viader. Il est vrai que Saint-Joseph se développe, devient un quartier en 1785, et voit la construction d'une église en 1795. (soit 40 ans aprés Saint-Louis). La population est alors de 1300 habitants.

 

Nos efforts se portent à déterminer une date plus précise.

 

Auriez-vous des informations ?  Pouvez-vous m'aider ?

 

 

 

 

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